« Tuc-tuc Madame ! » ou le royaume de la mob.

Publié le par cédric.plancon

Nous passons la frontière Thaïlande-Cambodge finalement le lundi après la rentrée du matin. Les enfants sont super enthousiastes de reprendre l’école, Marcel qui fait sa première vraie rentrée CNED est bien content de faire comme ses sœurs et parait très motivé pour cette nouvelle expérience. Soulagement des parents, qui appréhendaient un peu l’arrivée de ce nouvel élève dans la classe du CC… Tout est en ordre, nous passons les premières heures de cette nouvelle année scolaire sur un parking à 6 kms de la frontière dans une température chaude, le soleil qui a l’air de s’être installé depuis plusieurs jours, tape fort sur le CC planté au beau milieu du parking. Le premier jour d’école terminé, déjeuner torride et roulage vers le poste tout proche. Juste avant d’y arriver, la route bien propre jusque là, devient plus confuse, elle est très sale, des gens de partout, des vélos, piétons, cyclomoteurs et autres embarcations en tout genre.P1110163 Nous loupons presque la rue qui mène à la douane ! Nous stoppons finalement devant le poste Thaï P1110164où commence les démarches de sorties, vite expédiées, les douaniers connaissent bien leur boulot et tamponnent le carnet de passage en douane sans avoir besoin de le tourner et le retourner dans tous les sens avant d’en comprendre le fonctionnement. Nous sommes au poste frontière routier de Poipet, les touristes présents en grand nombre côtoient un nombre impressionnant de carrioles surchargées, P1110166que poussent les locaux à grand peine. Le ciel se charge, il pleuvote, nous arrivons du côté cambodgien, re-paperasse.P1110165 Nous obtenons les 5 visas d’un mois directement sur place contre paiement de 4000 baths (environ 125US$) en 15 minutes, re-tampons. Puis, nous devons faire enregistrer le CC, le poste en charge est situé après la frontière, 300m plus loin, ce qui n’est pas si facile à trouver car les postes de police municipale, police routière, douane et bâtiments officiels se succèdent et nous ne savons pas trop lequel choisir !... Enfin, nous trouvons le bon et du premier coup. Le tamponnage prend 5 minutes chrono, l’officier en charge de cette tache est en short tee-shirt, il a l’air de se préparer à sa séance de sport, il n’a pas de temps à perdre…

Toutes les formalités sont donc enfin expédiées en moins de deux heures. Nous avons 30 jours de découvertes devant nous et prenons la route aussitôt pour sortir de cette ville peu engageante. Les premiers tours de roues sont l’occasion pour nous de découvrir un pays qui parait hors du temps. Quel dépaysement ! Lors de notre progression en Asie du Sud-est, nous sommes passés d’un monde ultramoderne avec Singapour à un monde d’une simplicité extravagante, le tout en y allant progressivement. En effet, la Malaisie, pays développé, qui garde encore quelques côtés ruraux typiques, mais qui cherche à atteindre le niveau de réussite de son voisin si moderne, n’était que la première étape du voyage à travers le temps. La Thaïlande, deuxième étape du circuit vers la vie rurale et paisible, possède de bonnes infrastructures mais est bien plus typée que la Malaisie, les habitations sont dans leurs majorités en bois sur pilotis et les gens vivent simplement grâce à leur capacités de récupération, de débrouille, leur sens du commerce et leur sourire omniprésent. Enfin, le Cambodge… nous sommes, aussitôt entrés, aussitôt trempés dans cette ambiance hors du temps. Comme nous le vivons depuis des milliers de kms, la vie s’organise aux abords de l’axe principal que nous empruntons, la route est bonne dès la sortie de Poipet, les gens sont vêtus simplement et légèrement, certains hommes torse-nu, les bébés cul-nu et la circulation des voitures est quasi inexistante. Les habitations se sont transformées, certaines restent en bois, certes, mais beaucoup d’autres sont en tôle ondulée. Seule la route sur laquelle nous circulons semble être carrossable, les pistes perpendiculaires sont en terre rouge. Le plus impressionnant est la quantité d’eau sur les bas côtés.P1110178 Nous roulerons 400 kms jusqu’à Phnom Penh avec, en permanence des rizières à perte de vue et surtout des bas côtés gorgés d’eau, certains sont chargés de plus d’un mètre d’eau.

Un des éléments les plus significatifs pour nos premiers kms, c’est le changement de genre de deux roues circulant. Depuis Singapour, les deux roues sont omniprésents. Leur nombre n’a fait qu’augmenter au fil des pays, la manière de conduire aussi… En Malaisie, tout le monde est discipliné, sans parler de Singapour, où tout le monde est casqué. Depuis la Thaïlande, la circulation est déjà beaucoup moins ordonnée et régie par les règles classiques, tout le monde, ou presque, roule en deux roues dans un certain désordre. Pour les cyclos, il n’y a ni sens de circulation, ni priorité, ni feux tricolores, ni nombre de passagers, ni limite de poids, ni… bref, c’est un peu le bazar. En Thaïlande, le nombre de mobylettes était stratosphérique, dû au fait que les locaux n’avaient pas les moyens de rouler en voiture, voitures qui sont plutôt en bon état général d’ailleurs, du coup tous se déplacent, transportent de tout, se reposent, travaillent grâce à cette si belle invention motorisée.

Ici, ce n’est plus la Thaïlande, il y a toujours des mobs, bien sûr, mais la proportion des vélos est bien plus importante. Signe annonciateur d’un niveau de vie financier moins élevé. Nous précisons « niveau de vie financier » car comme chacun sait : « l’argent ne fait pas le bonheur ». Comme nous en avons pris l’habitude, notre embarcation ne passe pas inaperçu, bon nombre de cambodgiens nous saluent en nous souriant, d’autres restent bouche bée à notre passage.

Nous roulons jusqu’à Sisophon, où nous nous arrêtons pour la nuit. Il nous faut trouver des devises pour acheter une carte un peu plus détaillée que celle que nous avons sur notre guide et faire le plein de gasoil. Nous trouvons un distributeur dans une des rues défoncée de la ville mais qui nous donne des dollars !! Nous cherchons en vain un bureau de change afin de convertir les 400$ en 300 000 riels. Tant pis, les achats pourront attendre la prochaine étape bien plus touristique. Nous allons demander l’hospitalité dans la cour du poste de police, qu’il nous accorde sans aucun problème, mais après de nombreux intermédiaires qui ne parlent pas anglais. Une petite balade dans le parc communale où beaucoup de villageois se sont réunis pour diverses activités. Certains jouent au foot, d’autres avec une espèce de petite flèche qu’ils se passent à grands coup de pieds et qu’il ne faut pas faire tomber, certains autres font de l’aérobic, jouent aux cartes,P1110403 mangent ou toutes sortes d’occupations. La vie sociale en Asie se fait en extérieur, quelques soit le temps, les gens mangent, jouent, font du sport,P1110459 se reposent, se lavent,… dehors. Nous avons droit à quelques visites de la part des policiers qui sont bien curieux de voir de quoi est faite notre carapace. Nous reprenons la route après la classe et nous dirigeons vers Siem Reap, les bordures sont habitées par une bonne partie de la population, nous traversons donc de nombreux villages, les enfants sont livrés à eux même,P1110234 nous les voyons déambuler dans les ruesP1110304, sur des vélos trop grands en compagnie de leur frère ou sœur,P1110238 dans les champs, garder les vachesP1110196 ou les buffles qui sont la principale attraction de ces paysages magnifiquement verts, humides et un peu monotones.

La route est toujours de bonne qualité, d’autan que nous roulons à nouveau à droite, c’est plus facile lors des rares dépassements. Nous arrivons à Siem Reap quasiment en réserve, nous cherchons pour commencer, un bureau de change qui s’étonne de notre volonté de vouloir changer des $ en riels… Nous nous jetons sur la première station, une « Total » ! Nous allons alors comprendre pourquoi cet étonnement pour le change, en effet, ici il n’y a pas une monnaie, mais deux : le $ et le riel. Les touristes ne paient qu’en $, ce qui aide bien pour la conversion car 1€=5780 riels n’est pas facile et l’usage des riels l’est encore moins car les chiffres s’enflamment vite et nos poches sont trop petites pour contenir ces liasses énormes de billets. Pour les cambodgiens, c’est tout bénef, ils encaissent en $ avec un taux de change plus ou moins bon et rendent la monnaie en riels dès que les cents de $ apparaissent, ils gagnent comme cela sur les deux plans ! Pas de moyens mais des idées…

Nous restons à flâner dans la ville toute l’après-midi et trouvons un magasin de livres étrangers d’occasion. Aubaine pour nous qui commençons sérieusement à manquer de lecture, nous échangeons donc des livres avec la vendeuse et en rachetons d’autres. Nous tombons aussi sur un supermarché qui propose du Pastis à 4,5 dollars le litre !! Nous nous empressons d’en acheter en prévision d’un super apéro pour le soir. Nous cherchons ensuite un parking pour la nuit mais ils semblent rares et bruyants. Nous nous rabattons sur les parkings d’hôtels. Nous en trouvons un qui accepte et nous squattons sur le parking d’un établissement au top du luxe dont le directeur très sympa vient nous rendre visite afin de prendre une copie de nos passeports et nous proposer son aide en cas de besoin lors de notre séjour dans son pays. Nous repartons après une séance de musique pour le CNED vite expédiée car KIKI a la gastro ce matin, un élève en moins en classe et ça se ressent aussitôt. Nous roulons vers Phnom Penh pour faire l’administratif dont nous avons besoin. La route devient moins bonne, l’état est assez médiocre, en plus la densité de la circulation est plus importante, les voitures et camions P1110189sont un peu plus présents, mais c’est surtout les mobsP1110241 et autres engins P1110191P1110245qui sont envahissants. Ces embarcations prennent parfois beaucoup de place sur la chausséeP1110244 car certains sont de vrais véhicules, ils transportent tout un tas de bazar qui dépasse de tous les côtés. La route est longue, car semée d’embuches, nous arrivons finalement à Skun un peu fatigués de ce stresse, en plus le CC donne des signes de faiblesse dans l’injection… Nous trouvons une station service qui nous accepte pour la nuit, sitôt arrêtés, le moteur cale. Nous réussissons à repartir pour mieux se garer et Cédric recommence son démontage de pipes d’admission pour une petite giclée de diesel dans la poire… Ce problème récurent semble provenir du réservoir, à chaque fois qu’on tape dans les 10 derniers litres de la réserves, nous avons des soucis de carburation dans les jours qui suivent. Le moteur repart normalement. La patronne de la station est très gentille mais ne parle pas l’anglais, nous ne pouvons pas facilement communiquer avec elle, mais signe de la providence, nous rencontrons son frère Vanerin qui est francophone et qui vient discuter avec nous pour finalement nous inviter chez lui à Phnom Penh si ça nous dit. Nous récupérons ses coordonnées et finissons l’école avant de faire les 70 kms qui nous séparent encore de la capitale.

Ce fut un véritable chemin de croix qui nous attendait jusqu’à destination, la circulation aura été stressante avec son lot de camions, énormes 4x4, mobs, marchands ambulants et autres… P1110387qui roulaient tous de façon anarchique sur toute la largeur de la route. La route longeait le légendaire fleuve Mékong qui semblait être sorti de son lit.P1110266 Nous entrons dans Phnom Penh par le pont de l’amitié Japon-Cambodge, au pied duquel se trouve le rond point des « champs Elysées » de cette capitale où il faut rester encore un peu vigilant… L’ambassade de France est à 50 m de là et nous nous y arrêtons pour récupérer le nouveau carnet de passage en douane du CC. Le gars des services des passeports nous donne le papier de la poste qui nous permettra de le réclamer directement là-bas. Nous attrapons un tuc-tuc pour filer aussitôt à la poste centrale et l’affaire est réglée en un quart d’heure. Nous sommes désormais soulagés et cherchons un endroit au calme dans cette ville grouillante de toutes parts. Nous trouvons finalement une petite rue en face du lycée français Descartes. Elle est relativement peu fréquentée car c’est un vrai champ de mine. Seuls quelques vendeurs de plats cuisinés déployant table et chaises P1110280chaque soir anime cette rue coincée entre un hôtel de luxe et les archives nationales. Dans la ville, la circulation se fait sans l’aide de feux tricolores, elle a été quadrillée par des rues perpendiculaires les unes aux autres, à la manière américaine et les intersections sont le lieu de croisements incertains entre multiples, et variés, usagers. Il n’y a quasiment pas de passages piétons et quand il y en a, personne ne s’en préoccupe, les traversées sont super dangereuses à 5 surtout avec Lilou et Marcel qui ne se doute pas des dangers et s’amusent régulièrement en sautillant ou autre jeux farfelus. Personne ne s’arrête et il faut se faufiler dans le flot des véhicules, qui circulent dans tous les sens, car là encore pas de sens à respecter, seule la place importe, c’est comme cela que dans une seule voie de circulation on peut avoir une ou deux voitures dans un sens et des mobs de chaque côté en contre sens ! Bref, nous ne circulerons pas en CC ici, sauf si nécessaire, il faut dire que les chauffeurs de Tuc-tucP1110207 sont présents en grand nombre, ils nous hèlent à longueur de journée (tuc-tuc Madame !), certains nous suivent lors de nos balades pour tenter d’être prêt au cas où on se lasserait. L’ambiance est vraiment bonne, toutes les boutiques ouvertes sur la rue sont un véritable enchantement, nous adorons flâner dans ces rues, miteuses pour certaines, typiques au possible. Nous contactons Vanerin pour essayer de le voir afin de discuter et en apprendre plus sur le pays. Rendez-vous est prit le lendemain soir. Nous allons à l’ambassade de Thaïlande pour notre demande de visa longue durée (deux mois), nous y arrivons un quart d’heure après la fermeture du matin et allons reprendre le même tuc-tuc qu’à l’aller, mais un gars nous aborde à travers les grilles de l’ambassade et nous propose de s’occuper des démarches à notre place. Nous le remercions et lui indiquons que nous pouvons le faire nous même, il nous demande cependant si nous avons l’ensemble des papiers nécessaires pour les demandes et c’est là que le bas blesse, nous avons besoin d’un voucher d’hôtel pour faire la demande et nous n’en avons pas, il nous dit que nous ne pourrons pas les obtenir sans ça. Nous décidons finalement de lui confier nos passeports, malgré une grande réticence de Cédric qui se méfie et ose à peine laisser les ci-précieux documents. Non seulement nous les lui laissons, mais en plus, avec 210 US$ pour les visas et ses frais (35$) que nous avons du faire descendre. Nous repartons avec la peur au ventre…

Vanerin nous récupère le soir sur notre place de parking et nous le suivons de nuit sur 5-6 kms jusque chez lui. Nous faisons alors connaissance de toute la famille et passons une première soirée très agréable autour d’un pastis en apéro et un repas local. Vanerin est en fait un ex réfugié politique en France victime du régime des Khmers rouges. Il y est arrivé à une vingtaine d’année et y a séjourné 13 ans. Ces années lui ont permis de parler couramment le français, de faire des études supérieures et de s’intégrer à la vie sociale française. Il possède une grande connaissance de la France et de sa culture, il semble être aussi attaché à la France qu’au Cambodge. P1110326Sa femme est cambodgienne et comprend un peu le français mais ne le parle pas trop, ses enfants sont francophone, Patrice (17ans)P1110315, Nicolas (15 ans), Pascal (12 ans)P1110313 et Lina (5 ans) P1110314vont tous à l’école française de Phnom Penh. La communauté française semble être bien implantée ici et nous trouvons tous les produits français qui nous manquaient depuis un moment (Camembert, saucisson, bleu, crème et et et baguettes…). Nous profitons de cet interlude pour faire régler le parallélisme du train avant et nettoyer le réservoir de gasoil. Nous allons passer trois jours chez les Kao qui seront formidables P1110319grâce à l’accueil et les échanges que nous avons eu avec eux. Nous avons eu l’impression durant ces trois jours d’être en famille, le contact a été immédiat pour les enfants et nous avions parfois l’impression que Vannerin connaissait mieux la France que nous.P1110402 Si sa jeunesse a évidemment été terrible, c’est avec une belle ouverture d’esprit et beaucoup d’optimisme qu’il veille à l’éducation de ses enfants, profondément altruiste, il dépense beaucoup d’énergie pour tenter de faire évoluer son pays, riche de deux cultures, il reste humble et intègre, l’une de nos plus belle rencontre. Nous repartons le lundi midi, après une nuit affreuse pour Cédric qui a la gastro avec de la fièvre, Tallulah au réveil sera aussi mal en point. Nous retournons dans notre petite rue et visitons la capitale. Palais royal P1110335et ses toits à l'architecture somptueuseP1110361P1110364, Pagode d’ArgentP1110378et son lot de moine bouddhistesP1110377, monument de l’indépendance, P1110443quartiers et marchés animés. La ville est à taille humaine et nous prenons vite nos marques. Nous aimons cette ambiance qui règne dans ses ruesP1110423, P1110413les marchands ambulants,P1110442 les boutiques en tout genreP1110416, les gens qui se reposentP1110440 dès que possible dans leurs hamacs posés entre deux arbres en pleine ville, et toutes ces mobs qui se déclinent en une multitude de genre, certaine pour les tuc-tuc,P1110210 d’autres pour le transport de gros chargements,P1110445 la siesteP1110436, la version simple,P1110414 d'origine, la version familialeP1110446P1110448, la version entre copain, la version amazoneP1110447, la version transport en commun,…P1110456P1110396

Un bilan super positif de cette capitale qu’Alex élit au rang des préférées visitées. Nous prenons la route du sud et des plages sur une route n°3 parfaite et magnifique. Un arrêt sur une station pour le déjeuner et c’est l’enlisement ! Pourtant, il ne pleut pas, le parking semble être stabilisé, mais ce n’est pas le cas de la sous couche en glaise mouillée qui va nous faire batailler ½ heure en plein soleil pour ressortirP1110476 de ce guet apens le tout grâce aux gars de la station et de leur petit camion qui aura peiné à nous tirerP1110477. La suite de l’après-midi est un enchantement, le soleil, des paysages de rizières plantées de palmiersP1110486P1110488 et de petits monts mettront une touche vraiment typique à cette atmosphère calme et paisibleP1110489. Le CC ne dépasse plus les 80 km/h en 4ème l’injection semble être encore encrassée du dernier fond de cuve… Les petits villagesP1110493 se succèdent agrémentés des nombreux hamacs que tous utilisent, les cambodgiens ne sont pas des fous de travail, le farnienteP1110475 est l’activité la plus appréciée. Aujourd’hui, nous sommes dans un endroit magnifiqueP1110504 pour ce weekend, sur la plage de Kep, au calme et après avoir dû emprunter une route affreuse sur 10 kms, entre Kompot et Kep, qui a fait du mal au CC car il nous fait un nouveau bruit que nous n’avons pas réussi à localiser mais qui ne semble pas trop grave. La prochaine étape sera Sihanoukville et d’autres plages, avant de revenir sur nos pas pour visiter soit Siem Reap et le Temple d’Angkor, soit Kratie où l’on peut observer des dauphins roses d’eau douce, tout dépendra de nos choix pour le prochain pays : Laos ou Thaïlande.

Affaire à suivre…

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
S
<br /> Bonjour les Tortues,<br /> nous continuons de vous suivre toujours avec grand plaisir. Vos images nous renvoient à des images encore bien présentes en nous...Ici, on s'attelle à un diaporama qui sera présenté en fin<br /> d'automne. l'occasion de revivre un peu de notre voyage.Et puis, on ramasse châtaignes et girolles en écoutant les cerfs bramer.Profitez, profitez, mes amis on ne se rend compte du privilège que<br /> l'on a d'être disponible à tout que lorsque l'on est un peu moins disponible....des gros bisous à nos écoliers voyageurs et à vous. Séverine et la p'tite famille<br /> <br /> <br />
Répondre